Tout savoir sur le fonctionnement de l’assurance vie

Mis à jour le 6 février 2025 par Delphine Bardou 

L’assurance vie est un produit d’épargne souple et personnalisable particulièrement apprécié par les Français. Toutefois, il est primordial de bien comprendre son fonctionnement afin de pouvoir l’utiliser correctement et d’optimiser son rendement. Comment fonctionne une assurance vie ? Quels sont ses avantages et inconvénients ? Existe-t-il différents modes de gestion ou encore supports d’investissement ? Quid de sa fiscalité ? Nos réponses d’experts !

Définition de l’assurance vie

Une assurance vie est un produit d’épargne souple permettant de répondre à différents objectifs d’épargne : 

  • la constitution progressive d’un capital, 
  • l’accès à un taux de rendement attractif, 
  • la constitution de revenus complémentaires pour la retraite, 
  • la simplification de la transmission de capital hors succession, 
  • le financement des projets futurs de ses héritiers, souvent les enfants (études supérieures avec une rente éducation, projet immobilier, permis de conduire, achat d’une voiture …). 

Ainsi : 

  • durant la vie du souscripteur d’une assurance vie, il reste le principal bénéficiaire et le titulaire des fonds, ce qui lui permet de récupérer librement tout ou partie de son capital et des intérêts produits (rachat, avance), 
  • lors de son décès, le contrat d’assurance vie est dénoué et le capital ainsi que les intérêts générés reviennent aux bénéficiaires désignés (époux/épouse, partenaire de PACS, enfants, amis proches …). 

Attention : il ne faut pas confondre assurance vie et assurance décès ! Cette dernière est un contrat qui engage l’assureur à verser un capital ou une rente aux bénéficiaires désignés par l’épargnant dans le cas où il viendrait à décéder de manière précoce.

Quels sont les différents supports d’investissement d’une assurance vie ?

 Il existe deux types d’assurances vie :

  • Le contrat monosupport : l’intégralité du capital est positionné sur un fonds sécurisé : le fonds en euros. Ce placement sécuritaire génère des intérêts chaque année, et les risques de pertes sont nuls. 
  • Le contrat multisupport : l’épargne est répartie entre un fonds euros et une ou plusieurs unités de compte, des produits plus risqués mais au potentiel de rémunération bien supérieur (vous permettant notamment d’accéder aux marchés financiers et immobiliers).

Votre stratégie d’investissement dépendra alors notamment de votre âge, de vos habitudes d’investissement, de vos objectifs d’épargne et de rentabilité, ou encore de la prise de risque que vous considérez comme acceptable. 

Pour vous aider à trouver la meilleure assurance vie en fonction de vos objectifs d’épargne et de la diversité des supports d’investissement que vous envisagez, n’hésitez pas à utiliser notre comparateur en ligne ! Totalement gratuit et anonyme, il vous permettra d’obtenir en quelques clics de multiples devis personnalisés en fonction de votre profil et de vos besoins spécifiques. 

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Comment fonctionnent les primes d’assurance vie ?

Lorsque vous souscrivez un contrat d’assurance vie, vous devez alors effectuer des versements ponctuels ou réguliers, également appelés primes. 

Ces primes d’assurance vie peuvent alors prendre 3 formes différentes : 

  • les primes périodiques fixes : leur montant et leur périodicité (ou régularité) sont directement déterminées dans le contrat,
  • les primes à versement libres : vous pouvez librement décider de vos versements en fonction de vos moyens financiers, avec toutefois un montant minimal fixé par contrat, 
  • la prime unique : un seul versement d’assurance vie est effectué lors de la souscription de votre contrat. 

En cas de non-paiement de primes périodiques fixes dans un délai de 10 jours, vous recevrez alors un courrier recommandé de relance de votre assureur. 

Toutefois, en l’absence de paiement dans un délai de 40 jours à compter de la réception de ce courrier, vous vous exposez à : 

  • la résiliation de votre contrat d’assurance vie ou à une insuffisance de valeur de rachat, 
  • le maintien de votre contrat avec une réduction de vos garanties (possible uniquement après 2 années de versements ou si vous avez déjà versé minimum 15 % des primes convenues par contrat). 

Vous pouvez choisir de ne payer que la prime unique au début du contrat, ou bien d’effectuer ce versement initial puis de le compléter par des versements libres ou des versements périodiques fixes !

Assurance vie : quels avantages et inconvénients ?

Comme tout produit d’épargne, une assurance vie s’accompagne d’un certain nombre d’avantages et d’inconvénients : 

Avantages

  • une enveloppe d’épargne personnalisable entre différents types de supports d’investissement (entre fonds euros et unités de comptes), 
  • la garantie du capital investi grâce aux fonds euros, 
  • un capital disponible à tout moment, 
  • l’absence de plafond de versement ou de capital cumulable, 
  • la capitalisation progressive des fonds, 
  • l’accès à un taux de rendement attractif (d’autant plus élevé en cas d’investissement dans des unités de comptes), 
  • la constitution de revenus complémentaires pour la retraite, 
  • la satisfaction de différents objectifs d’épargne (rente éducation pour ses enfants, projet immobilier futur, préparation de la retraite …), 
  • la possibilité de choisir entre une sortie en capital ou en rente viagère, 
  • la co-souscription d’assurance vie pour les couples mariés, 
  • la possibilité d’avoir plusieurs contrats d’assurance vie à son nom, 
  • la transmission d’un capital hors succession, 
  • une fiscalité avantageuse, surtout pour les assurances vie de plus de 8 ans, 
  • l’accessibilité pour les personnes handicapées avec un contrat épargne handicap, 
  • la possibilité de dynamiser son épargne grâce à l’arbitrage d’assurance vie.

Inconvénients

  • le montant minimum de versement à l’ouverture, variable suivant les assureurs, 
  • la limitation de la co-souscription d’assurance vie aux couples mariés, 
  • les frais applicables à une assurance vie (frais de versement, frais de gestion, frais d’arbitrage) pouvant minorer sa rentabilité, 
  • la rentabilité variable, notamment entre fonds euros et unités de comptes, 
  • la fiscalité en cas de rachat anticipé avant 8 ans, avec une imposition plus élevée que pour les contrats plus anciens,
  • les contraintes des arbitrages, certains assureurs imposant des restrictions sur la fréquence ou le montant des arbitrages, 
  • les versements effectués après les 70 ans de l’assuré entrent dans la succession.

Quels sont les frais d’une assurance vie ?

Le fonctionnement d’une assurance vie s’accompagne également de différents frais, applicables dès l’ouverture du contrat mais également tout au long de sa durée de vie. 

Ces frais sont déduits de la valeur des fonds investis sur le contrat, soit du capital. 

Il existe ainsi 4 types de frais en assurance vie : 

  • Les frais de dossier, qui sont fixes et directement payés lors de la souscription ;
  • Les frais d’entrée ou frais de versement, qui sont prélevés à chaque versement que le souscripteur effectue sur son contrat d’assurance vie, aussi bien à la souscription qu’en cours de contrat. Ils peuvent être forfaitaires ou proportionnels au montant du versement, et varier de 0 % à 5 % selon les contrats ;
  • Les frais de gestion, qui sont prélevés pendant toute la durée du contrat. Ils correspondent à la rémunération de l’assureur et sont calculés sur la totalité de l’épargne constituée (en moyenne entre 0,5 % et 1,5 % pour les contrats en unités de compte) ;
  • Les frais d’arbitrage, qui sont pour leur part prélevés sur le montant des sommes transférées d’une unité de compte à une autre. Ils sont forfaitaires ou proportionnels aux sommes transférées et peuvent atteindre 1 % des sommes arbitrées.

Les banques, compagnies d’assurance et institutions financières qui commercialisent des contrats d’assurance vie doivent afficher les frais de gestion sur leur site internet, sous la forme d’un tableau standard regroupant les frais par catégorie.

Quels sont les modes de gestion disponibles dans une assurance vie ?

Les banques et assureurs proposent systématiquement plusieurs modes de gestion pour un contrat d’assurance vie :

Mode de gestionFonctionnement
Gestion libre– vous décidez vous-même de la répartition de votre capital entre les différents supports d’investissement disponibles, 
– vous pouvez aussi bien répartir votre capital entre fonds euros et unités de comptes, ou bien placer l’intégralité sur l’un ou l’autre. 
Gestion pilotée– vous déléguez la gestion de votre contrat d’assurance vie à un courtier, 
– vous pouvez tout de même lui communiquer vos objectifs en termes d’épargne, de rendement ou encore de types de supports, 
– le courtier se charge alors d’effectuer les opérations à votre place, sur la base de vos instructions, 
– vous aurez de plus accès à des conseils professionnels pour optimiser votre stratégie d’épargne. 
Gestion sous mandat– vous déléguez entièrement la gestion de votre assurance vie à une société homologuée par votre assureur, 
– vous ne choisissez donc pas la répartition de votre épargne, 
– le gérant de votre portefeuille d’épargne évaluera d’abord votre profil, puis sélectionnent les supports d’investissement les plus adaptés à vos objectifs. 

Quel est le rendement potentiel d’une assurance vie ?

Si vous avez investi votre capital d’assurance vie dans un fonds en euros ou encore dans des unités de compte dans le cadre d’un contrat multi-supports, les fonds versés ne seront pas valorisés de la même manière : 

Type de contrat d’assurance vieRendement potentiel
Contrat monosupport (fonds en euros)le capital est garanti et sécurisé avec un fonds euros, 
– il n’y a donc aucune perte possible, 
– l’assureur ajoute aux cotisations versées les intérêts prévus dans le contrat (versés chaque année le 31 décembre),
– les intérêts sont alors définitivement acquis, 
le rendement du fonds euros se compose ainsi d’un taux technique (taux minimum garanti) et de la participation aux bénéfices.
Contrat multi-supports (avec unités de comptes)– les fonds versés sont valorisés en unités de compte,
– ils ne sont donc pas garantis en euros,ils sont investis en parts de SICAV, SCI, SCPI, FCP ou trackers, eux-mêmes principalement investis en immobiliers, actions ou obligations,
– les actions et obligations sont alors regroupées au sein des Organismes de placements collectifs en valeurs mobilières (OPCVM),
attention, une unité de compte peut avoir un rendement négatif en cas de baisse des marchés financiers, engendrant une moins-value pour l’épargnant,
– malgré ce risque, le taux de rendement espéré sur les unités de compte est plus élevé que sur le fonds en euros.

Par exemple, le contrat vie-génération est un contrat en unités de compte spécifique. Le capital doit ainsi être investi à 33 % minimum dans les secteurs jugés utiles au développement de l’économie (Petites et Moyennes Entreprises, économie sociale et solidaire, etc.).

Le contrat euro-croissance est un cas particulier ! Il peut être monosupport ou multi-supports (le fonds euro-croissance cohabitant avec un fonds euros et des unités de compte). Le capital investi est alors garanti après 8 ans minimum de détention et peut être exprimé en euros et en parts de provisions de diversification, ou uniquement en parts de provisions de diversification.

Comment récupérer l’argent de son assurance vie ?

Si vous désirez récupérer l’argent placé sur votre assurance vie, plusieurs options s’offrent à vous : 

  • les rachat partiels libres : le capital d’une assurance vie est disponible à tout moment, l’assureur disposant alors d’un délai de 2 mois pour vous fournir les fonds demandés (il faut alors préciser la fiscalité choisie, entre impôt sur le revenu ou prélèvement forfaitaire libératoire), 
  • les rachats partiels programmés : il est également possible de programmer des rachats partiels récurrents à partir d’un certain montant minimum, notamment pour se constituer des revenus réguliers à la retraite (rente viagère) ou pour financer les études supérieures de ses enfants (rente éducation), 
  • l’avance : il s’agit d’un prêt consenti par l’assureur en contrepartie d’intérêts, une avance pouvant être une solution de choix face à un rachat partiel car elle n’est pas imposable et ne diminue pas la valeur du contrat d’assurance vie,  
  • le rachat total, menant à la clôture de l’assurance vie : un rachat total permet de récupérer la totalité de l’argent placé sur son assurance vie, toutefois cela entraîne la clôture du contrat et la perte de l’antériorité fiscale liée. 

Quid de la fiscalité d’une assurance vie ?

La fiscalité d’une assurance vie dépend de nombreux facteurs, tels que la date d’ouverture du contrat d’assurance vie, la date des versements ou encore le mode de sortie sélectionné. Voici les principales informations à retenir en la matière : 

Versements effectués avant le 27 septembre 2017– exonération d’imposition en l’absence de rachat, 
– en cas de rachat, choix entre le barème progressif de l’impôt sur le revenu ou un prélèvement forfaitaire libératoire dégressif, 
– pour les contrats de moins de 4 ans : 35 % + 17,20 % de prélèvements sociaux, 
– pour les contrats de 4 à 8 ans : 15 % + 17,20 % de prélèvements sociaux, 
– pour les contrats de plus de 8 ans : 7,50 % + 17,20 % de prélèvements sociaux, après abattement de 4 600 € pour une personne seule ou 9 200 € pour un couple. 
Versements effectués après le 27 septembre 2017– si le capital est inférieur au plafond de 150 000 € : PFU de 12,8 % pour les contrats de moins de 8 ans, et de 7,50 % pour ceux de plus de 8 ans (avec à chaque fois des prélèvements sociaux de 17,20 %), 
– maintien de l’abattement de 4 600 € ou 9 200 € pour les contrats de plus de 8 ans. 
Versements effectués avant 70 ans– chaque bénéficiaire dispose d’un abattement de 152 500 €, 
– puis le capital reçu est taxé à 20 % au-delà de cette somme, 
– puis à 31,25 % au-delà de 700 000 €. 
Versements effectués après 70 ansabattement unique de 30 500 €.

Il existe toutefois certains cas d’exonération totale d’imposition, à savoir :

  • licenciement de l’assuré ou de son conjoint,
  • la liquidation judiciaire de la société de l’assuré ou de son conjoint,
  • la mise à la retraite anticipée de l’un ou de l’autre,
  • invalidité de 2 ou 3ème catégorie de l’un ou de l’autre.

Enfin, il faut savoir qu’une rente viagère a son propre mode d’imposition, avec un taux dégressif en fonction de votre âge lors du premier versement de la rente : 

  • si vous avez moins de 50 ans, vous serez imposé sur 70 % de votre rente viagère ;
  • si vous avez entre 50 et 59 ans, sur 50 % ;
  • si vous avez entre 60 et 69 ans, sur 40 % ;
  • si vous avez plus de 70 ans, sur 30 %.

8 conseils pour optimiser le rendement de son assurance vie

Voici 8 conseils simples à prendre en compte avant de choisir votre contrat d’assurance vie, notamment pour réussir à optimiser son rendement potentiel : 

  • Conseil n°1 : Comparez les taux de rémunération entre fonds euros et unités de compte. En termes de taux de rémunération, i, contrat multi-supports permet de valoriser les fonds en euros et en unités de compte. De cette manière, vos placements en euros sont garantis et vos placements en unités de compte vous apporteront un bon taux de rendement,
  • Conseil n°2 : Intéressez-vous à la gestion de votre assurance vie. Une gestion déléguée partielle ou totale à un professionnel (gestionnaire de patrimoine, gestion privée, family office ou services bancaires spécialisés) vous permet de vous faire accompagner dans votre stratégie d’épargne, tandis qu’une gestion libre vous permet de décider entièrement par vous-même de la répartition de votre capital, 
  • Conseil n°3 : Ne négligez pas les SCPI dans votre contrat d’assurance vie. Les valeurs immobilières constituent de bons placements, notamment concernant les SCPI qui offrent un rendement plus élevé que les fonds euros. Toutefois, pensez à diversifier vos placements et à ne pas tout investir dans la même SCPI afin d’optimiser la rentabilité tout en minimisant les risques,
  • Conseil n°4 : Vérifiez les frais appliqués. Les frais de dossier, qui peuvent être lourds sur le long terme, ne doivent pas dépasser 0,7 %. Quant aux frais d’arbitrage, de nombreux assureurs ne les facturent plus, ce qui permet une plus grande rentabilité,
  • Conseil n°5 : Commencez à investir jeune si possible. Sachant que la fiscalité est avantageuse pour les contrats de plus de 8 ans, n’hésitez pas à vous lancer le plus rapidement possible dans un contrat d’assurance vie. Cela vous permettra d’avoir de l’épargne rapidement, tout en bénéficiant d’avantages fiscaux en cas de succession. Il n’est ainsi jamais trop tôt pour anticiper les événements de la vie,
  • Conseil n°6 : N’oubliez pas de désigner les bénéficiaires de votre contrat d’assurance vie. Il est important de désigner votre ou vos bénéficiaires, et si possible de désigner plusieurs personnes. En effet, si vous ne désignez qu’un seul bénéficiaire, vous prenez le risque que cette personne décède avant la fin du contrat ou avant vous, et que le capital versé entre alors dans la succession classique,
  • Conseil n°7 : Investissez au bon moment, lorsque les marchés sont à la baisse. Il est intéressant de continuer à investir de petits montants, y compris lorsque les marchés sont à la baisse. Il s’agit ainsi d’un investissement à moyen et long terme, vous garantissant de réaliser des plus-values par la suite, même si à court terme vous perdez de l’argent. 
  • Conseil n°8 : Comparez les offres d’assurance vie du marché ! Avant toute chose, nous vous conseillons d’utiliser notre comparatif des meilleures assurances vie. Vous pourrez ainsi comparer les frais, les services offerts, les rendements, etc. Cela vous permettra d’avoir une vue d’ensemble des différentes offres !
À quoi sert une assurance vie ?

Une assurance vie permet de répondre à différents objectifs d’épargne, tels que : 
– la constitution progressive d’un capital, 
– l’accès à un taux de rendement attractif, 
– la constitution de revenus complémentaires pour la retraite, 
– la simplification de la transmission de capital hors succession, 
– le financement des projets futurs de ses héritiers, souvent les enfants (études supérieures avec une rente éducation, projet immobilier, permis de conduire, achat d’une voiture …).

Quand souscrire à une assurance vie ?

Le plus tôt possible ! Il faut savoir qu’au bout de 8 ans de détention de votre contrat d’assurance vie, sa fiscalité est bien plus avantageuse.

Peut-on avoir plusieurs contrats d’assurance vie ?

Oui absolument ! Alors qu’un PER est limité à un seul contrat par personne, il est tout à fait possible d’ouvrir plusieurs contrats d’assurance vie différents à son nom, pour satisfaire de multiples objectifs d’épargne et d’investissement.

Quels sont les avantages d’une assurance vie ?

Une assurance vie comporte de nombreux avantages, tels que l’absence de plafond, un capital disponible à tout moment, la possibilité de choisir une sortie en rente ou en capital, ou encore la transmission d’un capital hors succession !

Quid des inconvénients d’une assurance vie ?

Une assurance vie comporte tout de même certains inconvénients, tels que sa fiscalité variable suivant la date d’ouverture du contrat ou la date des versements, la limitation de la co-souscription d’assurance vie aux couples mariés, ou encore l’application du droit des successions pour les versements effectués après les 70 ans de l’assuré.

Quels sont les différents types de versements réalisables dans le cadre d’une assurance vie ?

Les versements effectués sur une assurance vie peuvent prendre 3 formes : 
– les primes périodiques fixes
– les primes à versement libre,
– et la prime unique.

Quelles différences entre un rachat partiel d’assurance vie et une avance ?

Une avance d’assurance vie désigne un prêt consenti par l’assureur moyenne des d’intérêts. Contrairement à un rachat partiel, une avance n’est pas imposable et ne diminue pas la valeur du contrat d’assurance vie !

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